Ce que Johnny était
(Bob Marley and the Wailers ; 1976)
La femme se tient la tête en pleurant
Parce que son fils vient d’être abattu dans la rue, a trouvé la mort
Par la faute d’une balle perdue
La femme se tient la tête en pleurant
Quelqu’un tente de lui expliquer, un passant
Qui l’a vue en pleurs
Elle se demande
Comment elle pourra surmonter sa douleur
Elle sait maintenant que la mort est le salaire du péché
Tandis que la vie est le don de Yahweh
Elle s’écrie : ce que je sais
C’est que Johnny était un homme bon
N’ayant jamais rien fait de répréhensible
Il était un homme bon
La femme se tient la tête en pleurant
Parce que son fils vient d’être abattu dans la rue, a trouvé la mort
Par la faute du système
La femme se tient la tête en pleurant
Moi qui passais par là, j’ai tenté de la réconforter
Elle n’était que pleurs et lamentations
Maintenant je sais que Johnny était un homme bon
Je sais qu’il n’avait jamais rien fait de répréhensible
En pleurant, elle demandait : la tendre affection d’une femme
(Rien de répréhensible)
Envers l’enfant qu’elle a porté, peut-elle un jour prendre fin ?
(Johnny était un homme bon)
La tendre affection d’une femme
(Rien de répréhensible)
Envers l’enfant qu’elle a porté, peut-elle un jour prendre fin ?